Sunday, January 15, 2017

Roebuck Indian Village Site Plaque

West of Spencerville, Ontario on the south side of County Road 21 east of Forsythe Road stands a plaque commemorating the site of an Iroquoian agricultural community.

À l'ouest de Spencerville, en Ontario, du côté sud du chemin de comté 21, à l'est du chemin Forsythe, se trouve une plaque commémorant le site d'une communauté agricole iroquoise.

ROEBUCK INDIAN VILLAGE SITE

Approximately 500 years ago an Iroquoian agricultural community of about 1600 persons occupied this site. Archaeological excavations suggest that approximately 40 communal longhouses, averaging nearly 100 feet in length, stood in this village, palisaded with a stout double stockade. The farmers on the site grew corn, beans, squash, sunflowers and tobacco. A similar village, Hochelaga, on the present site of Montreal, was visited by Jacques Cartier in 1535. After this first contact with Europeans, these Indians, related to other Iroquoian-speaking peoples in northern New York and southern Ontario, disappeared, although archaeological evidence suggests that some of the survivors were absorbed by the Hurons on the Trent River system.

Erected by the Archaeological and Historic Sites Board,
Ministry of Colleges and Universities
SITE DU VILLAGE INDIEN DE ROEBUCK

Il y a environ 500 ans, une communauté agricole iroquoise d'environ 1 600 personnes occupait ce site. Les fouilles archéologiques suggèrent qu'une quarantaine de maisons longues communautaires, d'une longueur moyenne de près de 30 mètres, se dressaient dans ce village, entourées d'une robuste double palissade. Les agriculteurs du site cultivaient du maïs, des haricots, des courges, des tournesols et du tabac. Un village similaire, Hochelaga, situé sur le site actuel de Montréal, fut visité par Jacques Cartier en 1535. Après ce premier contact avec les Européens, ces Autochtones, apparentés à d'autres peuples de langue iroquoise du nord de l'État de New York et du sud de l'Ontario, disparurent, bien que des preuves archéologiques suggèrent que certains survivants aient été assimilés par les Hurons du bassin de la rivière Trent.

Érigé par la Commission des lieux archéologiques et historiques,
Ministère des Collèges et Universités