Supplemental Posts

Monday, March 29, 2021

Kenny Dagenais Bench

A bench commemorating the memory of Kenny Dagenais occupies a place next to the Sawmill Creek Path east of the Airport Parkway and north of the Airport Parkway Footbridge.




On October 22, 2007 a car struck Kenny Dagenais and he died almost exactly where the footbridge across the Parkway now stands. Kenny crossed the Parkway after leaving his sister-in-laws place, where he had been babysitting her daughters. The bench near the pedestrian bridge shown here memorializes him.



In Loving Memory of / À la douce mémoire de

Kenny Dagenais

Son, Brother, Uncle, Friend / Un fils, un frère, un oncle, un ami
July 2, 1921-October 22, 2007 / 2 juillet 1981 - 22 octobre 2007





Monday, March 22, 2021

Marion Dewar Plaza Plaque

A plaque, mounted on the wall west of the front entrance to Ottawa City Hall south of Laurier Avenue West, commemorated former Ottawa Mayor, Marion Dewar.




Marion Dewar Plaza

This plaque commemorates the life, service and achievements of Marion Dewar, a respected Mayor (1978–1985), Member of Parliament (1987–1988), public health nurse, peace activist and committed volunteer. Marion Dewar served her city and her country with conviction and distinction.

As Mayor of the City of Ottawa, Marion Dewar's lasting contributions include revitalizing the downtown core, supporting the arts, enhancing services for seniors and residents with disabilities and improving accessibility to affordable housing and childcare. She was the driving force behind "Project 4000", whereby the City of Ottawa welcomed and supported thousands of refugees during the Southeast Asian refugee crisis in 1979.

Marion Dewar spent her lifetime devoted to social justice and public service. She will be remembered by the residents of Ottawa for her vision, compassionate leadership and unwavering belief in what a community can achieve by working together to make a better world.

Dedicated on this 25th day of September 2009


Place Marion-Dewar

Cette plaque commémore la vie, le service et les réalisations de Marion Dewar mairesse respectée (1978–1985), députée fédérale (1987–1988), infirmière en santé publique, militnte pour la paix et bénévole engagée. Marion Dewar a servi sa ville et son pays avec conviction et distinction.

Comme mairesse de la Ville d'Ottawa, Marion Dewar a laissé des réalisations durables, notamment la revitalisation du centre-ville, le soutien aux arts, la bonification des services aux aînés et aux résidents handicapés ainsi que l'amélioration de l'accessibilité à des logements et à des services de garde d'enfants abordables. Ell a été l'âme dirigeante du « Projet 4000 », dans le cadre duquel la Ville d'Ottawa a accueilli et appuyé des miliers de réfugiés au cours de la crise des réfugiés du Sud-est asiatique, en 1979.

Marion Dewar a consacré sa vie à la justice sociale et au service public. Les résidents d'Ottawa se souviendront d'elle pour sa vision, son leadership empreint de compassion et sa conviction inébranlable qu'une collectivité peut accomplir de grandes choses lorsqu'elle se serre les coudes afin de céer un monde meilleur.

Inaugurée ce 25e jour de septembre 2009

Marion Dewar
February 17, 1928 – September 15, 2008
17 février 1928 – 15 septembre 2008



Monday, March 15, 2021

Clowes Lockstation

The Clowes Lockstation occupies a location on the northwest side of the Rideau River. The entrance driveway to the lockstation lies on Heritage Drive about 300 meters southwest of the intersection with Andrewsville Main Street.





You are located at:
Clowes Crown House

Vouse êtes au:
Logemenet de la Couronne de Clowes

495 promenade Heritage Drive


This defensible lockmaster's house, located in an elevated position distant from the Clowes lock, is a recognized Federal Heritage Building, designed by Royal Engineers and designated as a heritage building on April 30, 1992.









CLOWES

This is now a peaceful site, but the defensible lockmaster's house on the rise to the north is a reminder that the builders of the lock were prepared to defend it against a possible invader. One of the contractors who worked on the lock and dam, James Clowes, supplied the stone from his nearby quarry and his name for the station. Alas, because of poor workmanship, he lost his contract.

The dam here, one of the overflow type designed to have the water flow over the top, is provided with a waste weir, or bywash, on the west side of the dam. This acts as a type of safety valve during spring floods. It can control the flow over the top at other seasons to help reduce erosion caused by the force of falling water on soft rock along the dam's foundations. Waste weirs were originally installed by the contractors as temporary measures to divert the river during construction, but Colonel By soon recognized their usefulness and incorporated them into the permanent works.

Between 1826 and 1832, an old Indian canoe route along the Rideau and Cataraqui Rivers was transformed at the command of the British government from untamed wilderness rivers into the Rideau Canal. The purpose of this remarkable artery was to provide the British army with a safe route for supplying its inland garrisons, avoiding the direct but exposed route along the St. Lawrence, which only the disorganization of the American forces had prevented from being cut during the War of 1812.

The 202 km (126 miles) of waterway was made navigable by 47 locks grouped in 24 stations with their associated dams and weirs. The word was designed and superintended by the Royal Engineers, commanded by Lieutenant Colonel John By; the actual construction was done by local contractors.

Despite the blockhouses along the waterway, the role of the Rideau has always been peaceful. It was a busy waterway, carrying settlers and supplies into the growing settlement of the interior intul the middle of the 19th century, when larger locks were opened on the St. Lawrence. At the same time, since the possibility of war between Britain and the United States was now unlikely, the British Board of Ordnance signed the system over to the colonial government of Canada in 1856. The period of the Canal's military administration was over.

Local commercial traffic remained important until the advent of the automobile and better roads about the time of World War 1. Since that time recreational boating has grown steadily so that now the system, well into its second century, is busier than ever.


CLOWES

C'est aujourd'hui un endroit paisable, mais la maison fortifiée du maître-éclusier, au nord, sur la colline, rappelle que les constructeurs de l'écluse étaient prêts à la défendre contre tout envahisseur. L'un des entrepreneurs qui ont construit l'écluse et le barrage, James Clowes, a fourni la pierre provenant de sa carrière. On donna son nom à l'écluse. Il perdit toutefois le contrat en raison d'un manque de travailleurs compétents.

Le barrage a été conçu de façon à ce que l'eau s'écoule par-dessus. Il est doté d'un déversoir du côté ouest. Il s'agit en quelque sorte d'une soupape de sûreté ulitle au moment des crues printanières. Le déversoir retient l'eau en d'autres saisons, ce qui réduit l'érosion causée par la force de l'eau qui se déverse sur le roc friable en bordure des fondations. Les déversoirs ont été installés temporairement par les constructeurs pour détourner le cours de la rivière pendant la durée des travaus. Le colonel By a cependant vite reconnu leur utilité et les a intégrés dns les travaux permanents.

Entre 1826 et 1832, une ancienne voie d'eau utilisée par les Indiens le long des rivières Rideau et Cataraqui fut transformée à la demande du gouvernement britannique en un réseau de voies navagables : le canal Rideau. Le but de cet ouvrage remarquable était de fournir à l'armée britannique une route sûre pour approvisionner ses garnisons. On évitait ainsi le Saint-Laurent, voie plus directe mais oussi plus dangereuse qui n'était demeurée ouverte qu'en raison de la désorganisation de l'armée américaine au cours de la guerre de 1812.

Le réseau de 202 km (126 milles) a été rendu navigable par la construction de 47 écluses regroupées en 24 postes. Les travaux ont été planifiés et surveillés par les Royal Engineers. Sous le commandement du lieutenant-colonel John By. Ils ont été exécutés par des entrepreneurs locaux.

Malgré les blockhaus qui se trouvent le long du réseau, le Rideau n'a jamais été troublé par la guerre. Ce fut un cours d'eau achalandé transportant colons et approvisionnement à l'intérieur des terres jusq'au milieu de XIXe siècle lorsque les grandes écluses du Saint-Laurent furent ouvertes à la navigation. Au même moment, la menace de guerre entre la Grande-Bretagne et les États-Unis s'étant estompée, le British Board of Ordnance céda le réseau au gouvernement colonial du Canada en 1856. Ceal mit fin à l'administration militaire du canal.

Le trafic commercial local demeura important jusqu'à l'apparition de l'automobile et la construction de meilleurs routes à l'époque de la Première Guerre mondiale. Depuis, les plaisanciers se sont faits de plus en plus nombreux, tant et si bien qu le réseau, qui en est à son deuxième siècle d'existence, et maintenant plus fréquenté que jamais.





























The weir is the small dam that controls the upstream water's height and protects the main dam and locks from high water and flooding during the spring thaw. The height of the weir, and consequently the amount of water flowing through it, is regulated by adding or removing wooden beams to the weir's gate.